mardi 4 novembre 2014

La bonhommo-thérapie.


Il suffit d'avoir un stylo et une feuille de papier.



Commencez par dessiner librement un bonhomme.


 Attention, librement, n'est peut-être pas le bon mot. Puérilement. Régressivement. Un bonhomme de classe de maternelle. Voilà :

 Quand il est fini, ajoutez lui un environnement. Un décor, un accessoire, un autre personnage... n'importe quoi tant que c'est  la première chose qui vous vient sous le stylo :



Si vous estimez que c'est fini, alors, c'est le moment d'ajouter un titre. Très important. Et devinez quoi ?  Le premier titre qui vous vient à l'esprit !


Voilà, c'est fini. C'était une séance de bonhommo-thérapie.
Ca ne sert à rien. Ca ne soigne de rien.
Mais il ne faut pas hésiter à ajouter des couleurs,  



des formes abstraites


on a même le droit de faire des scènes heureuses !


même s'il faut reconnaître que ce n'est pas ce qui m'arrive le plus souvent sous le stylo... voici d'ailleurs ma première oeuvre de bonhommo-thérapie, qui a plus de 10 ans d'âge :


Je ne saurai jamais qui est ce couple tout nu sur le sable, mais je suis bien certaine d'une chose : c'était moi, là,  avec les poissons. 

Je l'ai deviné parce que j'ai toujours aimé les poissons.






2 commentaires:

  1. Habituellement je déteste dessiner mais là j'avoue que non seulement ça me fait rire mais en plus ça me donne envie d'essayer !
    Super !

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  2. cher Anonyme, c'est une bonne nouvelle. Peux-tu nous montrer ton premier exercice de bonhommo-thérapie ? garde-le précieusement, c'est comme un premier amour, il te dira tout du chantier à venir.

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